Sujets en économie agricole
La récente conférence de la Canada West Foundation (en anglais seulement) décrivait une demande d'aliments qui devrait s'accroître avec l'essor de la classe moyenne mondiale (en anglais seulement). Cette demande accrue suggère que les prix des produits agricoles devraient aussi augmenter. Pourtant, selon la Banque mondiale, cela ne se produira pas.
La récente fusion de Kraft et de Heinz entraîne des répercussions à profusion dans le nouveau paysage concurrentiel de la transformation des aliments.
La Société canadienne d'agroéconomie (SCAE) a tenu récemment sa conférence annuelle sur la politique agroalimentaire à Ottawa. Le thème de la conférence, « Évoluer au même rythme que les consommateurs : Comprendre les effets d'un environnement en évolution sur les politiques », a amené les participants à adopter un point de vue différent sur le secteur agroalimentaire canadien.
De nombreux facteurs agroéconomiques sont très favorables à l'heure actuelle. Les prix du pétrole poursuivent leur dégringolade. Le dollar canadien est à son plus bas niveau depuis les cinq dernières années, et les taux d'intérêt sont faibles depuis maintenant un bon moment.
In my recent presentation to a large group of food processors at Food Trends 2014 in Toronto, I emphasized the brighter economic outlook in the U.S., where Gross Domestic Product (GDP) is projected to grow in 2015 at an annual rate of 2.9% (Bank of Canada).
Le marché du travail canadien est soumis à une pression démographique grandissante. Selon les prévisions, nous assisterons à une diminution du nombre de nouveaux venus potentiels sur le marché du travail canadien qui remplaceront les personnes qui prendront leur retraite, et cette situation pourrait durer jusqu’en 2025.
Dans ce deuxième volet d’une série de deux articles exclusifs à FAC, le professeur Sparling parle de deux études qu’il a dirigées récemment sur la fabrication de produits alimentaires au Canada. Ces études, qui ont pour but de mieux faire connaître et comprendre l’industrie, ont été menées en collaboration avec l’Institut canadien des politiques agro-alimentaires (ICPA).
La dépréciation du dollar canadien entraîne-t-elle une hausse des recettes monétaires agricoles des producteurs de céréales et d’oléagineux? Il y a plusieurs facteurs à prendre en compte.
Dans l’ensemble, le Canada produit plus de denrées qu’il en consomme, ce qui rend le secteur agricole dépendant des marchés d’exportation. Nous avons expliqué récemment que la dépréciation du dollar canadien par rapport au dollar américain était bénéfique, car les produits canadiens exportés deviennent plus abordables que les produits américains. Logiquement, la dépréciation du dollar devrait donc être avantageuse pour l’agriculture.
L’industrie vinicole canadienne est dominée par les importations de vin français et italien. Depuis 1996, les importations de vin ont augmenté considérablement et elles dépassaient 2,2 milliards de dollars en 2013.